Jeudi 30 novembre 2017. J7
Départ vers Punta del Este, le St Trop de l’atlantique sud. En fait on ne pourra comparer, la dernière fois que nous sommes allés à St Trop, j’étais en culottes courtes…
Le site est exceptionnel quand à la ville, bof ! Le cœur historique, à la pointe, est désert et pas mis en valeur, le reste est une ville balnéaire plutôt chic, en avant saison.
Petite ambition culturelle avec une œuvre gigantesque, qui sert avant tout d’aire de jeux aux gamins du coin.
On profitera quand même des avantages du bord de mer en dégustant une livre de gambas arrosées de citron sur le port de plaisance.
Une halte à Piriapolis, nous avions loupé à l’aller le château délirant de Piria, ce magnat argentin ayant construit le casino hôtel de ce qui est devenu Piriapolis. En fait ce château est une coquille vide et n’offre que peu de surface habitable
Passage à Montevideo pour saluer et remercier Daisy et Nestor. Toujours aussi adorables, ils nous ont préparé une petite collation.
Nous repartirons en fin de journée pour nous avancer sur la route de Colonia di Sacramento, et trouvons un bivouac sur une plage à Kyu Ordeig.
S 34°42’ 2.24853’’ W 56°43’ 52.58686’’
Km : 250 Total 1060
Vendredi 1° décembre . J8
Destination Colonia , ville fondée par les portugais au XVII°, conquise par les espagnols et dont le centre historique, à la pointe de la presqu’île comme toujours, à gardé le calme et la nonchalance de l’époque .
Dès qu’on s’éloigne de la place d’armes, qui attire la foule, les rues sont vides et les immeubles délabrés. Là encore, le potentiel de rénovation est énorme !
La gare n’a cessé son activité qu’en 1984. La réserve d’eau pour les locos à vapeur, qui semble encore opérationnelle, nous fait faire un bond dans le passé.
Plutôt que de remonter jusqu’au pont sur le rio Uruguay qui permet le passage en Argentine, un détour de près de 500km qui permet trait cependant d’observer la végétation du delta, mais dont nous avons (longuement) bénéficié sur le bateau, nous avons choisi de traverser en ferry. Vu la hauteur de notre véhicule, les catamarans ne sont pas une option. Une seule solution, le « Buquebus » de 18h40.
Avant d’embarquer sur le ferry, petite glace à l’ombre
Les formalités d’immigration sont remplies dans la gare maritime flambant neuve. Trois heures de traversée et nous sommes, à la nuit, à Buenos Aires. Surprise, il faut réclamer le document d’importation temporaire pour le véhicule.
Nous nous rendons directement dans les allées de Puerto Madero, où on nous a recommandé un lieu de bivouac tranquille. Il sera bruyant…
Km 136 Total 1196















vous profitez d’un bel été pendant que dans un froid glacial, nous pleurons toutes les larmes de nos corps en enterrant Jean d’Ormesson et Johnny.
Le monde est trop injuste!!!!!
Agnes, radieuse : tu viens de voir le Père Noël!
Bises
François
sous dix cm de neige lourde attendons déjà les congères, rien que pour vous donner une idée! j’ai un message urgent à vous transmettre , ma BAL est KO merci de vous adresser au mail de Laurence pour nous dire si nous pouvons communiquer sur blogasie ou autre
Enfin un peu de soleil dans la grisaille humide et froide de nos contrées, vos commentaires et photos nous sont d’autant plus nécessaires et goûtées en cette saison !
Merci à vous deux et continuez.
Corinne et JF